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Un témoignage belge sur la fibro.
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Un témoignage belge sur la fibro.
TELLIN: VIVRE AVEC LA FIBROMYALGIE
publié le 18/03/2010 à 07h08
Annie Henrard et Régine Bolle doivent composer avec la maladie. N.HN
chapeau a écrit:
La fibromyalgie est une maladie invisible mais terriblement handicapante. Annie Henrard et Régine Bolle, deux Tellinoises témoignent.
Rédaction en ligne
“ J’étais quelqu’un de très actif. Après avoir exercé la profession de surveillante dans une école, j’ai travaillé dans la restauration. J’adorais mon travail ”. Régine Bolle vit à Tellin. Sa vie a basculé en 2000 lorsqu’elle a été diagnostiquée fibromyalgique. “ Après une dépression, j’ai souffert d’une grosse fatigue. Je ne parvenais pas à me remettre. J’ai donc fait une série d’examens qui ont permis de voir de quelle maladie je souffrais ”. Aujourd’hui, Régine ne travaille plus. Le mal dont elle souffre est diffus. “ La douleur est difficile à localiser. Cela va des cheveux jusqu’au bout des orteils ”, exemplifie-t-elle.
Annie Henrard, quant à elle, a connu presque le même parcours. “ J’étais aide-soignante et comme Régine, j’adorais mon travail. Le contact avec les personnes âgées me manque terriblement. Je faisais également partie de toutes une série de comités dans le village. Depuis que j’ai été diagnostiquée fibromyalgique, en 2002, je ne sais pratiquement plus rien faire. Je reste couchée, la plupart du temps dans mon canapé ”.
Au fil des mois, les relations nouées avec l’extérieur se sont effilochées. “ Cette maladie est invisible. Beaucoup ne comprennent pas, ont l’impression que nous n’avons rien. Pourtant, au quotidien, nous ne savons presque plus rien faire et nous vivons presque comme des recluses ”, signalent-elles.
Contre la douleur, les antidouleurs constituent l’un des principaux remèdes. “ Je prends aussi de la morphine”, ajoute Annie. À cela, les deux femmes ajoutent des relaxants et des antidépresseurs. Et lorsque le traitement ne suffit plus, elle retourne chez le spécialiste pour tenter autre chose. “ Mais il faut à chaque fois courir à Mont-Godinne ou à Liège. Et maintenant, il faut près de sept mois pour avoir un rendez-vous... ”, regrettent les deux femmes.
La clinique de la douleur installée à Libramont constitue toutefois une belle alternative. On en parle également, ce jeudi, dans La Meuse Luxembourg
publié le 18/03/2010 à 07h08
Annie Henrard et Régine Bolle doivent composer avec la maladie. N.HN
chapeau a écrit:
La fibromyalgie est une maladie invisible mais terriblement handicapante. Annie Henrard et Régine Bolle, deux Tellinoises témoignent.
Rédaction en ligne
“ J’étais quelqu’un de très actif. Après avoir exercé la profession de surveillante dans une école, j’ai travaillé dans la restauration. J’adorais mon travail ”. Régine Bolle vit à Tellin. Sa vie a basculé en 2000 lorsqu’elle a été diagnostiquée fibromyalgique. “ Après une dépression, j’ai souffert d’une grosse fatigue. Je ne parvenais pas à me remettre. J’ai donc fait une série d’examens qui ont permis de voir de quelle maladie je souffrais ”. Aujourd’hui, Régine ne travaille plus. Le mal dont elle souffre est diffus. “ La douleur est difficile à localiser. Cela va des cheveux jusqu’au bout des orteils ”, exemplifie-t-elle.
Annie Henrard, quant à elle, a connu presque le même parcours. “ J’étais aide-soignante et comme Régine, j’adorais mon travail. Le contact avec les personnes âgées me manque terriblement. Je faisais également partie de toutes une série de comités dans le village. Depuis que j’ai été diagnostiquée fibromyalgique, en 2002, je ne sais pratiquement plus rien faire. Je reste couchée, la plupart du temps dans mon canapé ”.
Au fil des mois, les relations nouées avec l’extérieur se sont effilochées. “ Cette maladie est invisible. Beaucoup ne comprennent pas, ont l’impression que nous n’avons rien. Pourtant, au quotidien, nous ne savons presque plus rien faire et nous vivons presque comme des recluses ”, signalent-elles.
Contre la douleur, les antidouleurs constituent l’un des principaux remèdes. “ Je prends aussi de la morphine”, ajoute Annie. À cela, les deux femmes ajoutent des relaxants et des antidépresseurs. Et lorsque le traitement ne suffit plus, elle retourne chez le spécialiste pour tenter autre chose. “ Mais il faut à chaque fois courir à Mont-Godinne ou à Liège. Et maintenant, il faut près de sept mois pour avoir un rendez-vous... ”, regrettent les deux femmes.
La clinique de la douleur installée à Libramont constitue toutefois une belle alternative. On en parle également, ce jeudi, dans La Meuse Luxembourg
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